Quatre ans après sa première apparition la A1, berline ou break, se veut plus séduisante encore.
Un demi-million, tel est le chiffre qui figure dans la colonne des ventes A1 depuis le lancement du modèle d’entrée de gamme en 2010. «Une manière éclatante de montrer sa popularité», selon les dires mêmes de ses concepteurs. Loin de jouer sur les acquis, Audi rend aujourd’hui sa A1 encore plus sexy et aguicheuse. Les changements sont certes minimes, mais la petite se veut toujours aussi agile et maniable malgré ses deux centimètres de longueur supplémentaire, et se présente sous des traits plus tendance tant à l’extérieur qu’à l’intérieur.
Côté motorisations, notons l’arrivée de trois cylindres et d’une ligne de six moteurs essence et diesel nouveaux ou améliorés. Avec, c’est d’une implacable logique, des consommations moyennes en baisse, la plage des puissances va de 90 à 192 chevaux. Et surtout, une boîte S-Tronic 7 rapports disponible avec tous les moteurs.
Pour la première fois de son histoire, Audi adopte un bloc trois cylindres 1.0 TFSI, 95 chevaux… dont la consommation est annoncée à 4.3 litres pour cent kilomètres. Sans oublier la version diesel 1.4 TDI ultra, 90 chevaux, et une gourmandise de 3.4 litres.
Chapitre sportif, l’ADN Audi se trouve dans les versions S1 et S1 Sportback qui cachent 231 chevaux et une transmission intégrale permanente.