La nouvelle plateforme de construction du XC90 permet de moduler les motorisations.
Arrivé récemment sur les marchés le Volvo XC90 de dernière génération se veut aussi excitant qu’écologique, voire éclectique. Autant de valeurs qui ne font pas toujours bon ménage. Et pourtant, dans sa version T8 le XC90 cumule les modes de conduite et annonce une consommation des plus basses. Cinq choix de propulsions sont proposés et peuvent être sélectionné en actionnant une molette sur la console centrale.
Motorisation par défaut ‘Hybride’ choisi l’essence ou l’électricité au gré des besoins. ‘Pure’ permet de rouler sans émissions nocives avec l’électricité stockée. Autonomie jusqu’à 40 kilomètres. ‘AWD’ comme le sigle l’indique représente la traction intégrale. Quant à ‘save for later’ en français dans le texte ‘sauver pour plus tard’ il préserve la charge de la batterie pour un usage futur.
Sur le XC90, le moteur électrique (82 chevaux) est accroché au train arrière et entraîne les roues postérieures. Manière de profiter de l’espace pour utiliser un bloc plus volumineux. Selon les données d’usine, le SUV signé Volvo est à la fois un condensé de plaisir et de puissance (400 chevaux) et un véhicule peu gourmand (2.5 litres / 100 kilomètre).