Ferrari décroche plusieurs distinctions pour ses moteurs alors que chez Honda un ingénieur dévoile ses secrets…
Habitué au succès, le cheval cabré de Ferrari henni de plaisir. En provenance de 30 pays, la soixantaine de membres du jury du «moteur de l’année», version originale «International Engine of the Year» a distingué le bloc 3.9, bi-turbo dans trois catégories, lui attribuant au passage le titre suprême de moteur de l’année 2016. Pour la petite histoire, le bloc en question se trouve sous les capots de divers modèles de la famille 488. Mais ce n’est pas tout, puisque le V12, 6.3 litres, a également été primé dans la classe plus de 4 litres.

Chez Honda les secrets sortent de leur boîte. Ingénieur aérodynamicien de la marque nippone, Thomas Ramsey dévoile la gestion complète des flux d’air de la NSX. Effectués aux Etats-Unis et au Japon les études de dynamique des fluides et les essais en soufflerie ont permis d’optimiser la gestion thermique, de minimiser la trainée et de maximiser les appuis. Un principe que les concepteurs de la NSX ont appelé «gestion totale de la circulation d’air» et qui permet également de refroidir idéalement les sources de chaleur, comme le moteur par exemple. Explication en images…