Introduit dans la gamme Ford en 2003, le C-Max donne naissance à sa 3ème génération.
Selon les dires même du fabricant, le nouveau C-Max est «plus racé et plus soigné» que ses prédécesseurs. Logiquement, il suit aussi les tendances économiques et promet d’être moins gourmand en carburant. A la clé, la première d’une motorisation 1.5 essence EcoBoost et son pendant de même cylindrée en version diesel, TDCi ECOnetic. Globalement, Ford annonce une réduction d’émissions de CO2 jusqu’à 20% sur les nouveaux modèles C-Max équipés du système stop + start.
Pour le reste, il semble évident que C-Max a une réputation à tenir, lui qui a déjà été vendu à plus de 1.2 million d’exemplaires sur le territoire européen et qui figure au sommet du hit-parade des ventes de monospaces depuis le début de l’année.
Comme à l’accoutumé, les intéressés par C-Max peuvent choisir entre une exécution 5 ou 7 portes. Cette dernière portant le qualificatif de Grand C-Max et étant équipée de portes coulissantes. Par contre, le C-Max est désormais mieux intégré à la famille Ford puisqu’il a été redessiné avec les attributs de cette dernière et entre dans le concept visuel ‘one Ford’ qui permet de reconnaître les membres de la tribu au premier coup d’œil. Le tout souligné par une face avant très typée et des lignes épurées.
A l’intérieur aussi C-Max se veut encore plus convivial, plus habitable et plus confortable. Plus familial aussi avec de nombreuses caches de rangement. C’est désormais une évidence, bonne ou mauvaise peu importe, C-Max à l’image de tous ses concurrents est ce qu’il est convenu d’appeler ‘connecté’. Il bénéficie dans la foulée des aides à la conduite les plus récentes.
Côté lumière, feux diurnes à LED, phares bi-xénon et autres raffinements sont au programme. Pour profiter de tous ces arguments et des promesses de C-Max, les amateurs devront toutefois faire preuve d’un peu de patience encore, la version décrite ci-dessus étant annoncée pour une commercialisation européenne l’an prochain.